Etude Fincley sur les moyens mis en œuvre par les banques pour atténuer l’impact du taux de rémunération négatif de la BCE sur leur rentabilité
Quasiment aucune banque ne répercute les taux négatifs à ses clients entreprise. Celles qui le font ciblent un nombre limité de clients sans potentiel de développement. Les banques ne restent pourtant pas inactives. 91% d’entre elles mettent en place des mesures vis-à-vis de la clientèle entreprise pour atténuer l’impact des taux négatifs sur leur rentabilité.
C’est un des résultats de l’étude que nous avons conduite auprès de 14 banques de la place de novembre 2018 à février 2019.
Cela fait maintenant 5 ans que le taux de rémunération des dépôts des banques à la BCE s’est installé en territoire négatif (-0,40% actuellement). Confrontée au ralentissement de la croissance et de l’inflation, la BCE a annoncé qu’elle reporte de nouveau la hausse de ce taux au plus tôt à 2020. Or, ce taux négatif a un coût pour les banques de plus de sept milliards d’euros par an versés à la BCE[1].
Notre étude permet de mieux cerner l’enjeu des taux négatifs pour les banques en précisant la part des dépôts les plus impactés. Elle répond aux questions : Comment les banques ont-elles réagi ? Quel a été l’impact sur les différents produits de trésorerie proposés ? Quelles sont les mesures les plus efficaces ?
Accédez ici à un extrait de l’étude
Pour une présentation complète des résultats de l’étude, contactez : kelvin.frisquet@fincley.com
[1] https://fr.reuters.com/article/businessNews/idFRKCN1R80T0-OFRBS